Conseils et témoignages
Notre expérience auprès de nos proches nous a permis d’acquérir des savoirs que nous souhaitons partager à travers ces vidéos.
Bon à savoir
Qui sont les aidants ?
11 millions de personnes de 16 ans ou plus aident de façon régulière et à domicile un ou plusieurs de leurs proches pour raison de santé ou d’un handicap.
57 % d’entre eux sont des femmes. Si les membres de la famille sont majoritaires parmi les aidants (conjoint pour 44 %, parents pour 13 % dont la mère pour 12 %, enfants pour 21 % dont la fille pour 14 %), les amis, voisins et autres proches représentent 21 % de l’ensemble.
Le rôle des mères dans l’aide aux enfants handicapés est clairement mis en évidence (pour 82 % des personnes aidées de 5 à 24 ans, l’aidant principal est la mère, pour 6 % il s’agit du père ; pour les personnes aidées de 25 à 59 ans, la mère est encore l’aidant principal dans 15 % des cas, le père dans 2 % des cas). Cet investissement des mères auprès de leur enfant en situation de handicap, mais aussi des filles auprès de leurs parents âgés, se fait souvent au détriment de leur participation au marché du travail et donc au risque d’une exclusion sociale.
Toutes les tranches d’âge sont représentées (11 % des aidants ont moins de 30 ans, 32 % ont entre 30 et 49 ans, près d’un quart [23 %] a entre 50 et 59 ans, et environ la même proportion [24 %] entre 60 et 74 ans, tandis que 10 % des aidants sont âgés de 75 ans et plus). La moitié des aidants vivent avec le proche aidé, l’autre moitié ne cohabite pas avec la personne, ce qui influe sur la nature de l’aide apportée (plus diversifiée pour les aidants cohabitants). 47 % des aidants occupent un emploi (ou sont apprentis) et 33 % sont retraités (ou retirés des affaires ou préretraités).
Que font les aidants pour les aidés ?
Compagnie, accompagnement, courses, ménage, cuisine, organisation de la vie quotidienne, suivi des rendez-vous médicaux, aménagement de la maison, aides administratives…… Il y a tant à faire !
Foire aux questions (FAQ)
Questions A : L’aidant
Questions B : Pathologie et Parcours de soin de la personne fragilisée
Questions C : Le maintien à domicile
Questions D : Les modalités de Financements
Savoir être et savoir faire avec une personne en situation de handicap
Vous êtes amené à rencontrer et passer du temps avec une ou des personnes en situation de handicap ? Vous appréhendez ces rencontres et ne savez pas comment vous comporter ? Ce petit guide est fait pour vous. Il est là pour vous aider et vous mettre à l’aise. Vous y trouverez les infos et conseils qui faciliteront vos contacts avec ces personnes quelles que soient leurs déficiences.
Les personnes en situation de handicap : des gens comme nous
La population de personnes en situation de handicap est de plus de 12 millions.
Il n’existe pas un mais des handicaps. Visibles ou invisibles, ils entraînent des besoins spécifiques et des aides particulières. Les pathologies sont très différentes : mobilité réduite, mal-voyance, déficiences auditives, ou encore maladies mentales, autisme, déficience intellectuelle…
Les personnes en situation de handicap sont perçues comme différentes, une différence qui inquiète. Inconnu, le “monde” du handicap paraît souvent mystérieux voire inaccessible. Pourtant, rassurons-nous et oublions nos idées toutes faites. Les personnes en situation de handicap sont des gens comme nous, avec leur peurs et leurs joies, leurs sentiments et leurs réactions. Quelques attentions, un peu de bon sens et beaucoup de respect suffisent en général à assurer un bon contact et une bonne entente.
3 points pour une belle rencontre avec une personne en situation de handicap
- Soyez naturel
- Parlez simplement et clairement
- Avant la rencontre, renseignez vous sur le handicap de la personne pour ne pas confondre les déficiences et être surpris.
Dico handicap
« Tous les handicaps ne se ressemblent pas »- • Autisme :
- Trouble du développement entraînant des difficultés à communiquer et comprendre les relations sociales.
- • Accident vasculaire cérébral :
- Arrêt brutal de l'irrigation d'une partie du cerveau dû à l'obstruction ou à la rupture d'une artère du cerveau. Les dommages peuvent être graves et aller jusqu’à’à la paralysie.
- • Hémiplégique :
- Personne souffrant d’une paralysie de la moitié du corps dans le sens vertical.
- • Infirme moteur cérébral (IMC) :
- Personne souffrant de graves troubles moteurs liés à une lésion cérébrale mais ne touchant pas l’intellect.
- • Malvoyant :
- Personne dont la vue est très faible ou nulle. Une personne aveugle ne voit pas du tout.
- • Malentendant :
- Personne ayant des problèmes d’audition plus ou moins importants, jusqu’à’à la surdité totale.
- • Paraplégique :
- Personne paralysée des membres inférieurs.
- • Schizophrène :
- Personne souffrant d’une psychose grave. Dissociation mentale et activité délirante entraînent une perte du contact avec autrui et un repli sur soi.
- • Tétraplégique :
- Personne paralysée des quatre membres et du tronc.
- • Trisomie 21 :
- Anomalie de la paire 21 des chromosomes entraînant pour la personne des déficiences intellectuelles.
- • Troubles obsessionnels compulsifs (TOC) :
- Comportements répétitifs de certaines personnes qui souffrent d’obsessions (images ou des pensées récurrentes qui créent de l’anxiété).
- • X fragile :
- Première cause de déficience intellectuelle après la trisomie 21.
Quelques basiques
Le respect et l’attention sont nécessaires dans tous les rapports humains, ceux avec les personnes en situation de handicap ne font pas exception à la règle.
- Dites bonjour, présentez-vous si c’est la première rencontre.
- Approchez vous tranquillement, ne parlez pas trop fort, la plupart des personnes handicapées entendent très bien.
- Parlez normalement avec le vocabulaire de tous les jours, y compris pour les mots du handicap mais faites attention aux termes réducteur ou blessants : Parlez de “personne en situation de handicap” et non “d’infirme” ou “d’invalide”.
- Dites toujours à la personne ce que vous faites ou vous allez faire.
- Avant de l’aider pour quoi que ce soit, demandez-lui si elle souhaite votre aide.
- Soyez patient. Ne bousculez pas la personne, même si elle est lente à répondre à vos sollicitations.
- Soyez attentif. Ecoutez toujours ce que la personne vous dit.
Pour bien faire avec chacun
-
Avec une personne malvoyante
Les personnes aveugles voient leur environnement avec leurs autres sens (toucher, ouïe, odorat).
- Pour attirer l’attention d’une personne malvoyante, appelez la par son nom, sinon elle ne peut savoir que vous vous adressez à elle.
- Présentez vous, elle ne reconnaît pas forcément votre voix.
- Ne l’attrapez jamais par le bras sans prévenir. Laissez-la, elle-même, poser sa main sur votre bras ou votre épaule.
- Pour un trajet, demandez toujours si la personne souhaite être guidée ou non. Si oui souhaite-t-elle prendre votre bras ou être guidée à la voix ? Chacun a ses préférences.
- Pour l’aider à s’asseoir, guidez la vers le siège et décrivez le (tabouret, fauteuil …). Placez sa main sur le dossier et laissez-la faire.
- Dans un endroit familier, ne changez jamais les objets de place sans la prévenir et ne laissez jamais une porte entrouverte.
- Dans un lieu nouveau, faites-la visiter et décrivez les pièces.
- Si la personne est accompagnée d’un chien guide, abordez-la par le coté opposé au chien. Ne touchez ni la laisse, ni l’animal qui ne doit pas être distrait de son travail.
- Prévenez la personne quand vous la quittez, sinon elle parlera dans le vide sans savoir qu’elle est seule
-
Avec une personne malentendante
La surdité est un handicap qui ne se voit pas mais qui conduit souvent les personnes malentendantes à s’isoler et à se couper du monde. De nombreux sourds et malentendants lisent sur les lèvres.
- Placez-vous toujours face à la personne, le visage dégagé et bien éclairé.
- Parlez lentement et en articulant mais sans excès.
- Faites des phrases courtes.
- N’hésitez à employer des gestes, à écrire ou dessiner.
- N’oubliez pas qu’une personne sourde n’est pas forcément muette, laissez-la vous répondre.
-
Avec une personne en fauteuil
De nombreux handicaps conduisent à se déplacer en fauteuil. Informez vous sur votre interlocuteur.
- A la maison, placez-vous à sa hauteur de la personne, vous établirez ainsi une relation d’égalité.
- En déplacement, demandez lui si elle souhaite que vous poussiez son fauteuil. La plupart des handicapés en fauteuil se déplacent sans aide.
- Marchez à coté du fauteuil, comme si vous marchiez à coté d’une personne valide.
- Si vous devez pousser le fauteuil, faites le doucement en évitant les mouvements brusques. Dites à la personne si vous n’avez pas l’habitude et demandez lui des conseils pour bien faire.
-
Avec une personne atteinte de graves troubles moteurs
Ces personnes n’ont pas la capacité de maitriser leurs corps et sont souvent affectés de mouvements incontrôlés. Si certain d’entre eux ont aussi des problèmes de déficiences intellectuelles ce n’est pas le cas de tous.
- N’ayez pas peur, ces personnes ont souvent envie de rencontre, mais ne peuvent pas toujours vous le faire savoir.
- Demandez de quelle façon entrer en contact (toucher, paroles, yeux, écriture.).
- Soyez naturel et simple. Parlez sur un ton normal.
-
Avec une personne qui s’exprime difficilement
Certaines personnes peuvent avoir une élocution difficile, du fait d’un handicap moteur cérébral ou de séquelles d’un traumatisme crânien. Leur intelligence n’est pas altérée.
- Parlez normalement et laissez à la personne le temps de vous répondre.
- Adressez-vous à la personne directement et non à son accompagnant. Ce dernier saura s’il doit intervenir dans la conversation.
-
Avec une personne handicapée mentale
Il existe différents handicaps mentaux. Intéressez-vous aux capacités et aux ressources de la personne et ne vous bornez pas à ses limites.
- Soyez simple et patient.
- Parlez normalement en utilisant des phrases courtes, évitez les détails, exprimez-vous clairement.
- Utilisez le mode affirmatif et le présent, évitez les longs discours. Restez concret.
- Ne manifestez pas d’impatience, restez attentif et disponible.
- Laissez à la personne le temps de comprendre et de réagir. Veillez à ce qu’elle s’exprime jusqu’au bout.
- Répétez les consignes ou informations plusieurs fois. Assurez vous que la personne a compris.
- Certaines personne sont lentes à comprendre, laissez-leur le temps de réagir ou de s’exprimer.
- Ne soyez pas surpris par les marques d’affection qu’on vous témoigne (tutoiement, contact physique, embrassade). Ces manifestations sont des modes de communication.
-
Avec une personne en difficulté psychique
Les troubles psychiques ne se voient pas, mais certaines difficultés se décèlent au comportement des personnes. Des réactions inadaptées, des gestes incontrôlés, des discours illuminés ou au contraire un repli sur soi, sont autant d’attitudes qui trahissent un problème psychique.
- Soyez à l’écoute.
- Restez patient, laissez la personne s’exprimer jusqu’au bout.
- Évitez de poser plusieurs fois la même question.
- Restez calme. Ne répondez jamais à l’agressivité ou l’invective.
- Laissez toujours à la personne la possibilité de partir.
Pour plus d’information, suivez ces liens :
Association des paralysés de France (APF)
ADHF - Handicapés de France
Association Handicap infos
Unapei - S'informer sur le handicap mental
Savoir être et savoir faire avec les personnes âgées
Certains de vos proches sont des personnes âgées ou très âgées ? Vous travaillez chez des personnes âgées ? Vous seriez disponibles pour rendre visite à votre voisine très âgée mais vous n’osez pas ? Vous ne savez pas trop comment vous comporter lorsque vous êtes en présence de personnes âgées ?
Ce petit guide est fait pour vous. Il est là pour vous aider et vous mettre à l’aise. Vous y trouverez des infos et conseils pour rendre vos contacts avec ces personnes plus agréables.
Les personnes âgées : tout simplement des personnes
En France, il y a environ 22% de personnes de 60 ans et plus. En 2050, ces derniers représenteront plus de 30% de la population avec environ 10 millions de personnes de plus de 75 ans. Ceci est du à l’allongement de la durée de vie. Aujourd’hui’hui, l’espérance de vie à la naissance (ou durée de vie moyenne) est de 77 ans pour les hommes et de 84 ans pour les femmes alors qu’en 1950 elle se situait autour de 66 ans.
La vieillesse n’est pas une maladie, c’est un processus progressif que nous connaissons tous. Avec l’âge, cependant, des fragilités et des pathologies s’installent, parfois jusqu’à la dépendance qui apparaît le plus souvent chez les personnes très âgées.
Parfois un peu coupées du monde à cause de leur âge ou de leurs maladies, les personnes âgées ont souvent besoin des plus jeunes pour les actes de la vie quotidienne. N’oublions pas qu’elles ont une vie derrière elles, une personnalité, des avis et des idées. Pour de bons rapports, il est important de se comporter comme avec toute autre personne en leur témoignant considération et affection.
3 points pour une belle rencontre avec une personne âgée
- Soyez calme.
- Parlez lentement et un peu fort.
- Ecoutez plus que vous ne parlez et donnez des signes de votre compréhension.
Qui sont les personnes âgées ?
« A chaque âge ses caractéristiques»
Une personne âgée est une personne dont l'âge est avancé et qui présente les attributs physiologiques et sociaux de la vieillesse tels que la société se les représente. C’est en général le départ en retraite qui marque symboliquement l’entrée dans le troisième âge.
Les personnes âgées forment un groupe social important en nombre mais qui n’est pas homogène. On est différent à 85 ans de ce que l’on était à 65 ans. L'entrée dans la vieillesse ne se réfère à aucun âge particulier mais à un état d'incapacité fonctionnelle ressenti par les personnes âgées elles mêmes.
- On appelle seniors, les sexagénaires et septuagénaires. De nombreuses personnes sont encore très actives et en bonne santé à cet âge, désigné comme le « troisième âge ».
- Les termes « très âgés » désignent les personnes qui vivent le grand âge. On parle de « quatrième âge » ou de « grands seniors » pour désigner les personnes d'un âge très avancé, en général plus de 80 ans.
- De plus en plus de personnes sont aujourd’hui centenaires. Il y en a plus de 160 000 en France. La plupart vivent en maison de retraite.
Ce qui accompagne le vieillissement
- Diminution de l'autonomie physique
- Plus de difficultés à voir, à entendre, à se déplacer, à s’alimenter, à différencier le goût des aliments. Grande fatigue lors des activités quotidiennes comme les courses, le ménage, la toilette.
- Diminution des capacités intellectuelles
- Déclin des capacités à se concentrer, à comprendre, à s'exprimer, à communiquer. Lenteur et difficulté à trouver les mots, formuler des phrases. Oublis d'événements ou répétitions. Impossibilité de prendre les décisions concernant sa propre vie, son devenir.
- Changement de regard sur soi
- Sentiment de devenir une charge pour les autres, difficulté pour accepter de devenir dépendant, culpabilité à demander de l’aide, dégradation de l’image qu’on se fait de soi-même, gêne devant la perte de son intimité, sentiment d’être inintéressant, inutile…
- Changement de l'environnement social et familial
- Mort des proches. Famille moins disponible, plus éloignée. Peu de rencontres, grande solitude.
Pour être bien accepté par une personne âgée.
Le respect et l’attention sont nécessaires dans tous les rapports humains, ceux avec les personnes âgées ne font pas exception à la règle.
- Dites bonjour, présentez-vous si c’est la première rencontre.
- Demandez si vous pouvez vous asseoir et installez vous face à la personne, au même niveau qu’elle.
- Parlez lentement, de façon rassurante, amicale. N’hésitez pas à mimer ce que vous dites.
- Faites des phrases courtes, utilisez des mots simples, concrets. Ne donnez qu’une information à la fois.
- N’utilisez pas de langage enfantin, ne tutoyez pas la personne.
- Ne bousculez pas la personne, même si elle est lente à répondre à vos sollicitations. Adaptez vous à son rythme. Ne finissez pas ses phrases.
- Choisissez des sujets de discussion où la personne se sent à l'aise.
- Ne contestez pas ce qu’on vous dit, c’est ce que vit la personne au moment présent.
- Évitez de réconforter la personne avec de vains espoirs.
- Si vous ne comprenez pas, reformulez ce qu’a dit la personne.
- Acceptez les silences et laissez à la personne l’initiative de reprendre la conversation.
Avec des personnes qui ont perdu certaines facultés.
- AVEC UNE PERSONNE QUI VOIT MAL OU PLUS
-
- Prenez votre voix la plus douce.
- Appelez la par son nom, sinon elle ne peut savoir que vous vous adressez à elle.
- Présentez vous, elle ne reconnaît pas forcément votre voix.
- Favorisez le toucher, prenez lui les mains ou posez la main sur son épaule.
- Prévenez la personne quand vous la quittez, sinon elle parlera dans le vide sans savoir qu’elle est seule.
- AVEC UNE PERSONNE DEVENU MALENTENDANTE
-
- Parlez lentement et en articulant.
- Ne parlez jamais dans son dos, mettez vous face à elle.
- Faites des phrases courtes.
- N’hésitez à employer des gestes, à écrire ou dessiner.
- AVEC UNE PERSONNE QUI S’EXPRIME DIFFICILEMENT
-
- Parlez normalement et laissez à la personne le temps de vous répondre.
- Reformulez ce qu’a dit la personne pour être sûr d’avoir bien compris.
- Ne manifestez pas d’impatience, même en cas de long silence.
- AVEC UNE PERSONNE EN PERTE D’AUTONOMIE
-
- Ménagez la dignité de la personne. Faites attention à ne pas être méprisant.
- Ne minimisez pas ses douleurs ou plaintes même si elles sont récurrentes.
- Prenez votre temps.
- Soyez doux et délicat dans vos gestes et vos paroles.
- AVEC UNE PERSONNE CONFUSE
-
- Soyez très calme et très patient.
- N’insistez pas sur le fait que ses propos sont incohérents ou répétitifs.
- Parlez peu et uniquement pour dire des choses très simples.
- Soyez affectueux, n’hésitez pas à la prendre dans vos bras, la bercer ou l’embrasser.
Attention, la dépression arrive plus vite qu’on ne croit
Beaucoup de personnes âgées sont touchées par la dépression. Dans un monde qui valorise principalement la jeunesse, les personnes âgées se sentent inadaptées et, de fait, sont souvent délaissées.
Elles ont besoin à ce moment de leur vie d’une écoute attentive et d’encouragements. Elles ont aussi besoin de lien social. Les inviter à se joindre à vos activités, les encourager à pratiquer les leurs, les aident à ne pas se replier sur elles-mêmes.
Les signaux d’alerte
Si vous remarquez ces attitudes chez une personne âgée, c’est que la dépression n’est pas loin ou déjà installée. Si les symptômes durent, n’hésitez pas à consulter un médecin.
- Refus d'exercer les activités habituelles : la toilette, manger, sortir...
- Refus de parler, de rencontrer les proches, les amis, les voisins.
- Mauvaise humeur sans raison apparente.
- Lassitude, tristesse, désespoir, surtout en fin de journée.
- Irritabilité et colère à l'égard d'elle-même et d'autrui.
Pour plus d’informations sur les personnes âgées, leurs besoins et la façon d’y répondre, suivez ce lien : http://www.agevillage.com/
Nous remercions Madame Hélène Ducrocq - Association VMEH pour ses précieux conseils.
Prenez soin de vous !
Les aidants sont fréquemment en situation de fragilité, voire de «burn out» et nous vous proposons un petit quiz qui vous incitera à consulter votre médecin si au moins un des items était positif.
Pour répondre il faut se restituer dans le temps qui précède : au mieux une semaine, mais non pas dans la vie passée ou dans l’instant présent
Mini GDS : Geriatric dépression scale
Etes-vous satisfait(e) de votre vie? | oui | non* |
Avez-vous renoncé à un grand nombre de vos activités? | oui* | non |
Avez-vous le sentiment que votre vie est vide? | oui* | non |
Vous ennuyez-vous souvent? | oui* | non |
Envisagez-vous l’avenir avec optimisme? | oui | non* |
Etes-vous souvent préoccupé(e) par des pensées qui reviennent sans cesse? | oui* | non |
Etes-vous de bonne humeur la plupart du temps? | oui | non* |
Craignez-vous un mauvais présage pour l’avenir? | oui* | non |
Etes-vous heureux la plupart du temps? | oui | non* |
Avez-vous souvent besoin d’aide, | oui* | non |
Vous sentez-vous souvent nerveux(se) au point de ne pouvoir tenir en place? | oui* | non |
Préférez-vous rester seul(e) dans votre chambre plutôt que d’en sortir? | oui* | non |
L’avenir vous inquiète-t-il? | oui* | non |
Pensez-vous que votre mémoire est plus mauvaise que celle de la plupart des gens? | oui* | non |
Pensez-vous qu’il est merveilleux de vivre à notre époque? | oui | non* |
Avez-vous souvent le cafard ? | oui* | non |
Avez-vous le sentiment d’être désormais inutile? | oui* | non |
Ressassez-vous beaucoup le passé? | oui* | non |
Trouvez-vous que la vie est passionnante? | oui | non* |
Avez-vous des difficultés à entreprendre de nouveaux projets? | oui* | non |
Avez-vous beaucoup d’énergie? | oui | non* |
Désespérez-vous de votre situation présente? | oui* | non |
Pensez-vous que la situation des autres est meilleure que la vôtre et que les autres ont plus de chance que vous? | oui* | non |
Etes-vous souvent irrité(e) par des détails? | oui* | non |
Eprouvez-vous souvent le besoin de pleurer? | oui* | non |
Avez-vous du mal à vous concentrer? | oui* | non |
Etes-vous content(e) de vous lever le matin? | oui | non* |
Refusez-vous souvent les activités proposées? | oui* | non |
Vous est-il facile de prendre des décisions? | oui | non* |
Avez-vous l’esprit aussi clair qu’autrefois? | oui | non* |
Chaque réponse marquée * vaut un point.
Score 0 à 5 : normal
Score entre 5 et 9 : indique une forte probabilité de dépression
Score à 10 et plus : indique presque toujours une dépression.
Au delà de 5 points, Il semble nécessaire de consulter ; on ne peut s’occuper bien d’un proche que si on est soi même en forme.
Décès-Obsèques, savoir en parler
Mon vécu : dur ! dur ! de parler de ce sujet avec ceux qu’on aime, comment s’y prendre sans leur donner l’impression qu’on les a déjà mis sous terre… Cet espace est fait pour vous aider à en parler, un prétexte pour aborder cette question.
Croyez-moi je suis passée par là et je n’étais pas du tout à l’aise.
Pour que ce moment vous soit plus facile à vivre, je vous conseille de proposer à votre aidé de souscrire un contrat obsèques, vous éviterez ainsi de culpabiliser le jour venu.
Les démarches et formalités après un décès
Déclaration à faire dans les 24h
- Déclaration de décès à la mairie du lieu de décès.
- Si le décès a lieu dans un centre hospitalier, une clinique ou un hospice, l’établissement effectue les démarches auprès de la mairie gratuitement.
- Pour éviter la disparition des biens de succession, il est possible de demander par écrit et rapidement au greffier en chef du tribunal d’instance, la mise sous scellé du domicile du défunt ou un coffre-fort à la banque.
Démarches à effectuer dans les 36 h
- Si le défunt est lié par un pacs, un courrier doit être envoyé au tribunal d’instance accompagné d’une copie de l’acte de décès où le Pacs a été signé.
Démarches à effectuer dans les 48h
- Prévenir l’employeur
- Prévenir les ASSEDIC
Démarches à effectuer dans les 7 jours
- Banque, caisse d’épargne ou comptes chèques postaux
- Société d’assurance mutuelle complémentaire
- CRAM ou MSA
- Aide sociale aux personnes âgées
- Le bailleur
- Le syndic de copropriété
- Le juge des tutelles du tribunal d’instance.
Démarches à effectuer dans les 30 jours
- Informer le centre des impôts
- Trouver un notaire pour organiser la succession
- La CPAM ou un autre régime
- La CAF
- Prévenir les organismes payeurs (électricité, eau,…)
- Interrompre la redevance audiovisuelle et les autres contrats.
Démarches à effectuer dans les 6 mois
- Remettre la déclaration de succession sur le revenu
- Régulariser l’impôt sur le revenu, la taxe foncière et d’habitation
- Transformer le compte joint en compte personnel
- Demander une immatriculation personnelle auprès de la Sécurité Sociale
- Faire modifier la carte grise de la voiture.
Démarches à accomplir lors d’un décès à domicile
- Constat de décès :
- Faire constater le décès par le médecin traitant avant tout soin apporté au corps du défunt.
- Si vous n’avez pas la possibilité de joindre votre médecin traitant, appeler « S.O.S. médecins »
- Le certificat médical peut attendre le lendemain si le décès survient dans la nuit
- Appeler les intervenants habituels (infirmiers libéraux, HAD, auxiliaires de vie)
- Appeler l’organisme de pompes funèbres choisi.
- Acte de décès et autorisations
- Le décès doit être déclaré dans un délai de 24 heures au service de l’état civil de la mairie du lieu de décès.
- Les autres documents à demander sont :
- L’autorisation de fermeture du cercueil (par le maire)
- Les autorisations particulières pour :
- Le transport du corps avant la mise en bière (par le maire)
- Les soins de conservation (par le maire)
- Le transport du corps après mise en bière (par le maire)
- L’inhumation dans un cimetière communal (par le maire)
- La crémation par le maire
- Les extraits d’acte de décès (par le maire).
- Quelques conseils en attendant les pompes funèbres
- Éteindre le chauffage dans la pièce où se trouve le corps du défunt et éviter d’allumer trop de lumière
- Fermer volets et rideaux
- Lors des grosses chaleurs, fermer volets et fenêtres et mettre si vous en avez la possibilité, une climatisation.
- En hiver, fermer les volets et laisser la fenêtre ouverte pour que le froid puisse pénétrer dans la pièce.
- La première toilette mortuaire peut être effectuée par l’infirmière intervenant au domicile.
- Documents à préparer pour l’opérateur funéraire
- livret de famille
- Certificat de décès
- Titre de concession au cimetière
- Contrat de prévoyance funéraire
Remerciements au réseau OSMOSE pour tous ces précieux conseils
www.reseau-osmose.fr
Pouvoir se déplacer sereinement, c’est mieux vivre en ville
Conserver ou gagner son autonomie de déplacement permet de vivre pleinement tout ce que la ville offre d’opportunités : travail, école, loisirs, sorties...
Être en situation de handicap, être confronté à une difficulté temporaire de marche ou vieillir tout simplement ne doit pas empêcher de profiter de la vie.
C’est pourquoi, l’association les Compagnons du Voyage accompagne de façon régulière ou ponctuelle toute personne ne pouvant pas se déplacer seule soit temporairement soit définitivement dans les transports publics.
- Vous travaillez et ne pouvez pas emmener votre enfant à ses séances d’orthophonie dans la journée.
- Votre fille malentendante veut apprendre à prendre le métro seule pour se rendre à l’école.
- Vous habitez en province et souhaitez que vos parents parisiens vous rendent visite.
- Votre papa atteint de la maladie d’Alzheimer doit faire une correspondance entre deux trains sur Paris.
- Vous travaillez en banlieue et votre maman qui habite à Paris et se déplace difficilement doit consulter un ophtalmologiste.
- Vous aspirez à ce que vos parents vieillissants continuent à sortir sereinement de chez eux pour qu’ils entretiennent leur forme physique et le lien avec leur quartier et leurs amis...
Vous n’avez pas toujours la possibilité de vous rendre disponible pour vos proches.
Et vous avez aussi le droit de souffler un peu et de prendre du temps pour vous.
Alors n’hésitez plus, contactez les Compagnons du voyage www.compagnons.com
- Idris, 6 ans suit tous les jeudis après la classe son cours chez l’orthophoniste.
- Jennifer, 14 ans élève malentendante est maintenant autonome dans ses déplacements.
- Marguerite, une parisienne de 86 ans a pu assister au mariage de sa petite fille en Bretagne....
La tutelle
Vous êtes aidant familial confronté à une situation complexe. Vous vous occupez d'un proche vieillissant, malade ou en situation de handicap ayant une altération de ses facultés mentales et/ou corporelles l’empêchant de défendre ses intérêts.
▪ Association de Soutien de la Tutelle Familiale : ASTF
L'ASTF est une association de bénévoles créée en 2016 par des professionnels du droit et des tuteurs familiaux, qui a été reconnue d’intérêt général en 2017.
L'ASTF a pour objectif de défendre les intérêts des tuteurs familiaux qui sont mandatés pour s’occuper d’un parent ou d’un proche, ayant le statut de personne majeure protégée.
L’ASTF a également pour finalité d’informer le grand public sur les mesures de protection juridique ainsi que de faire connaitre le mandat de protection future qui en est l’alternative. Dans cette optique des partenariats sont mis en place avec d’autres associations nationales.
L’ASTF s’est en outre dotée d’un service gratuit d’information et de soutien des tuteurs familiaux, habilité auprès des tribunaux de l’Yonne et relevant d’un financement de l’Etat.
Pour davantage de renseignements, nous vous invitons à consulter notre site internet: http://www.tutelle-familiale.fr
8 avenue Delacroix
"Le Phare"
89000 AUXERRE
Tél. 07 70 29 67 59
tutellefamiliale.asso@gmail.com
https://www.facebook.com/tutellefamiliale.asso/
https://twitter.com/Tutellefamille
▪ Tutelle au quotidien
Tutelle au quotidien, www.tutelleauquotidien.fr site spécialisé sur les mesures de protection juridique accompagne les tuteurs familiaux en leur permettant de prendre toutes les précautions essentielles pour protéger leur proche ou parent dans les démarches et le suivi à effectuer au quotidien.
Avec plus de 45 000 connexions par mois, Tutelle au quotidien est la référence internet de la protection des personnes vulnérables où vous retrouverez :
- Informations qualifiées (dossiers thématiques, guide du tuteur familial, analyses juridiques, actualités)
- Entraide et Soutien via le forum,
- Outils en ligne pour protéger votre mandat (assurance RC du tuteur familial),
- Réseau de partenaires
- Logiciel Proxima de gestion 100 % en ligne pour organiser au mieux votre mission.
Pour nous contacter : contact@tutelleauquotidien.fr
Pourquoi et comment recourir à l’emploi direct ?
Qu’est-ce que l’emploi direct (ou emploi entre particuliers) ?
Lorsqu’un particulier a besoin d’une aide à domicile, il peut recourir à :
De nombreuses personnes dépendantes ont recours à plusieurs de ces modes d’intervention (prestation de service + emploi direct)
Pourquoi recourir à l’emploi direct ?
Plusieurs raisons peuvent mener au recours à l’emploi direct :
Comment s’y prendre ?
Tout au long de vos démarches, vous pouvez être accompagnés par la Fédération des Particuliers Employeurs (Fepem). Il s’agit de l’unique organisation représentative des 3,6 millions de particuliers qui emploient 1,7 million de salariés en France. La Fepem peut vous aider à trouver un salarié via le site www.particulier-emploi.fr et peut répondre à toutes vos questions sur l’emploi direct au 0825 07 64 64 (0,15 € / min). Partenaires, la Compagnie des Aidants et la Fepem vous proposent d’adhérer à l’ensemble des services proposés par les deux associations, sans frais supplémentaires. Pour retrouver le détail des services proposés par la Fepem, cliquez ici. Pour adhérer aux services, cliquez là
Les médicaments sont utiles, ne les rendons pas nuisibles
L’association Cyclamed, à but non lucratif, créée en 1993, est l’éco-organisme agréé par les pouvoirs publics pour collecter et valoriser les Médicaments Non Utilisés (M.N.U.) à usage humain, périmés ou non, rapportés par les ménages dans toutes les pharmacies.
Ce dispositif marque l’engagement de tous les professionnels de la chaîne du médicament pour la protection de l’environnement et la sécurité sanitaire. Il évite les rejets médicamenteux dans la nature (eaux de surface et souterraines) et permet une prévention des accidents domestiques auprès des jeunes enfants ou des personnes âgées.
Cette collecte des MNU est une mission de service, obligatoire pour toutes les pharmacies d’officines *(loi n°2007-248 du 26/2/2007 et décret d’application n°2009-718 du 17/6/2009).
Toutes les formes galéniques sont concernés : comprimés, gélules, sirops, pommades…
En rapportant les Médicaments Non Utilisés à la pharmacie, le patient ou la personne aidante :
- s’inscrit dans une démarche éco-citoyenne de tri sélectif. Il a l’assurance qu’ils seront collectés dans le circuit pharmaceutique pour être éliminés dans le respect de l’environnement. De plus, l’énergie produite permet d’éclairer et de chauffer des logements.
- permet d’éviter des accidents domestiques, car stockés au domicile, les Médicaments Non Utilisés présentent des risques potentiels de confusion médicamenteuse pour les seniors ou des risques d’intoxications par ingestion accidentelle pour les enfants.
Présentation France Alzheimer et maladies apparentées
Créée en 1985 à l’initiative de familles de personnes malades et de professionnels du secteur sanitaire et social, France Alzheimer et maladies apparentées est à ce jour la seule association nationale de familles reconnue d’utilité publique dans le domaine de la maladie d’Alzheimer et des maladies apparentées. Depuis plus de trente ans, France Alzheimer et maladies apparentées a l’ambition d’accompagner, d’informer, de soutenir les personnes malades et leur famille dans leur parcours de vie avec la maladie.
France Alzheimer et maladies apparentées regroupe près de 100 associations départementales présentes en France métropolitaine et dans les DROM-COM. Grâce à l’implication et l’énergie de bénévoles et de professionnels, le réseau d’associations France Alzheimer et maladies apparentées propose des actions pour accompagner au quotidien les personnes malades, les aidants familiaux.
France Alzheimer c'est ainsi :
- 500 lieux d’accueil et d’écoute
- Près de 700 actions pour les personnes malades et les aidants : formation des aidants, séjours vacances-répit Alzheimer®, café mémoire Alzheimer®, groupes de parole, ateliers de stimulation cognitive et artistique, atelier de relaxation, halte-relais Alzheimer®
- Plus d’un million d’euros consacré aux bourses de recherche par an en sciences médicales et en sciences humaines
Présentation France Parkinson
Créée en 1984 par le professeur et neurologue Yves Agid, France Parkinson est à ce jour la seule association nationale des personnes touchées par la maladie de Parkinson, reconnue d’utilité publique et bénéficiant de l’agrément représentant des usagers du système de santé.
Depuis 30 ans, l’Association permet aux personnes atteintes de la maladie de ne plus être seules face au diagnostic et de sortir de l’isolement. Elle soutient les malades et leurs proches en assurant des permanences téléphoniques d’écoute, en organisant des réunions d’information et des groupes de paroles. France Parkinson sensibilise l’opinion et interpelle les médias afin de lutter contre les idées reçues sur la maladie. Ses actions visent à mobiliser les pouvoirs publics notamment pour améliorer la prise en charge des malades. Enfin, l’association soutien la recherche en octroyant des bourses, subventions et grands appels d’offres pour des projets dédiés à la maladie de Parkinson.
France Parkinson, en quelques chiffres :
- 10 000 adhérents et donateurs
- 70 comités de bénévoles qui proposent des activités dans toute la France
- Plus de 450 bénévoles actifs
- Et plus de 5 millions d’euros consacrés à la recherche en 10 ans
France Parkinson propose des programmes nationaux d’accompagnement et de soutien aux aidants : le programme de formation des aidants A2PA (voir encart formation des aidants) et le programme d’activités Entr’aidants Parkinson qui propose aux proches des malades de Parkinson de se rencontrer, de partager un moment convivial, d’échanger leurs expériences et de se ressourcer quelques heures (http://www.franceparkinson.fr/association/missions-et-actions/soutenir-assister-malades-proches/contacts-entraidants/ ).
Sophrologie et préservation du capital santé
Sophro-Trainer propose d’accompagner les aidants dans leur quotidien car un aidant accomplit sa journée « ordinaire » et en plus, quotidiennement son activité d’aidant. Il doit faire face au stress lié à cette situation, s’adapter aux changements, prévenir l’épuisement, faire face à son propre stress ainsi qu’au stress de l’aidé… et rester en bonne santé.
C’est pourquoi l’aidant doit veiller à sortir des 3 T qui mènent droit à l’épuisement : Tout, Tout de suite, Tout seul.
C’est beaucoup et souvent, c’est trop !
La sophrologie et les ateliers Sophro-Trainer font partie des solutions pour mieux faire face en donnant des clés pour :
Prendre soin de soi ➜ Se protéger pour mieux faire face
Gérer soi même le stress situationnel ➜ Prendre du recul
Gérer ses émotions ➜ Apaiser les tensions et l’énervement
Lutter contre l’épuisement ➜ Retrouver sommeil et vitalité
Garder sa motivation ➜ Fluidifier la relation aidants-aidés
S’adapter à chaque situation ➜ Cultiver la pensée positive
Garder confiance en soi ➜ Restaurer l’estime de soi
Nous proposons des ateliers d’une demi journée sur les thématiques suivantes :
1 DÉCOUVRIR LES BASES DE LA SOPHROLOGIE
2 SAVOIR ANIMER UNE SOPHRO-RELAXATION
3 LA SOPHRO-RELAXATION POUR SE PROTÉGER
4 LA SOPHRO-RELAXATION POUR S’APAISER
La vocation première de cette démarche est de préserver le capital santé des personnes à travers le développement de leur qualité de vie quotidienne notamment en période difficile où la préservation de leurs ressources devient capitale pour pouvoir continuer à vivre.
Prenez contact avec nous pour plus d’informations : sophro.trainer@gmail.com
La fin de vie, et si on en parlait ?
La plateforme nationale d’écoute « La fin de vie, et si on en parlait ? »
Numéro d’appel national : 0811 020 300
Plateforme interactive du Centre National des Soins Palliatifs et de la fin de vie : information, orientation, écoute en toute confidentialité, pour toute situation relative à la fin de vie.
Du lundi au vendredi, de 10h à 13h et de 14h à 17h (0,6 €/mn) ; vous rappelle gratuitement au numéro de votre choix.
Service accessible également via le site www.spfv.fr ou par mail plateforme@spfv.fr.
Le CNSPFV : Un centre national pour tous, sur les soins palliatifs et la fin de vie
Améliorer l’accès aux droits et participer à améliorer les conditions de la fin de vie en France, en particulier en favorisant le dialogue entre les citoyens et les professionnels de santé : voici les principaux objectifs du Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie – CNSPFV.
Une des missions du CNSPFV est l’information et la communication, singulièrement à destination des aidants. Pour cela, il met à disposition du grand public et des professionnels différents outils d’information et d’échange, sur l’ensemble des droits relatifs à la fin de vie et l’organisation des soins palliatifs en France.
- La plateforme interactive “La fin de vie, et si on en parlait ? “
Accessible au 0811 020 300 (n° Azur) ou via le site www.spfv.fr, cette plateforme informe sur les droits et les aides en matière de fin de vie.
Elle oriente vers des lieux et des ressources permettant de favoriser l’accès aux soins palliatifs et aux pratiques d’accompagnement. Elle offre une possibilité d’écoute pour évoquer des situations difficiles, en toute confidentialité.
- Le site Internet et les réseaux sociaux
Sur www.spfv.fr, le CNSPFV développe différents contenus pour tout type de public afin de faciliter la compréhension et l’appropriation des informations sur les soins palliatifs et la fin de vie, en particulier la loi du 2 février 2016 : FAQ, vidéos, dossiers d’information, conseils pratiques, fiches « Mes droits », etc.
- Les soirées en région
Le CNSPFV organise des soirées-débat en région, axées sur les différentes questions relatives à la fin de vie et aux soins palliatifs. Ces soirées donnent la parole aux citoyens pour qu’ils expriment leurs questions et leurs préoccupations. Des experts leur répondent. En faisant se rencontrer le grand public et les professionnels dans des lieux citoyens, le CNSPFV permet un dialogue ouvert sur les questions de soins palliatifs et de fin de vie.
Pour connaître le programme et les dates des soirées : www.spfv.fr
Pour tout contact direct : communication@spfv.fr